Rosans et le Rosanais

Vue du village de Rosans depuis les hauteurs

L’église, extérieur et intérieur, la Tour Sarrasine


eglise1 – Au début des années vingt, avant l’édification du monument aux morts.


eglise2 – Entre la carte de gauche, qui date d’avant 1930, et celle de droite la façade de l’église a été rénovée.

eglise9 – Les deux cadrans solaires ont disparu, remplacés par une horloge moderne. Les deux platanes de part et d’autre des escaliers ont déjà bonne allure.


eglise31 – En mai 1909, une carte envoyée à Valentine Garcin, en séjour à Monteux. Sa sœur Catherine avait signé.


eglise3 – Dans les années 1920. On distingue très bien les trois cadrans solaires qui étaient sur l’église.

C’est contre ce peuplier que l’estrade des musiciens était édifiée pour la fête de Rosans. Le bal allait du peuplier à la fontaine.


eglise4 – Avant 1930. Le monument aux Morts a été édifié.


eglise5 – Une sortie de messe, et un alambic, prés de la fontaine.

C’était avant 1930, la Poste était encore à droite de l’église.


cloche – Le 23 novembre 1924, le baptême de la cloche Marie-Antoinette.      
Son parrain Antoine Truphémus est devant l’évêque,
sa marraine Mademoiselle Julien, fondatrice du Lastic, est à gauche de la cloche.


eglise6 – vers 1930.

Les platanes viennent d’être plantés, et il reste quelques peupliers.


portail2 – L’arrière du château.

portail1 – et la perspective : portail, fontaine, église.

C’était beaucoup plus tard, les platanes étaient de bonne taille.


eglise8 – Après 1935, la Poste avait déménagé.

Renée Richaud, encore Chauvet, avait fait faire sa salle d’eau.


eglise10 – Carte récente, vers 1970, en vraies couleurs.


choeur1 – Le chœur de l’église avant sa destruction par un curé, soi-disant moderne, avec sa chaire en noyer, et l’autel en marbre.

Au-dessus de l’autel, le tableau, « donné » par l’Empereur Napoléon III, maintenant relégué dans une des entrées.


choeur2 – L’intérieur de l’église, le nouvel autel, et les nouveaux bancs.

colonnes


fontaine1 – La fontaine dédiée à Ladoucette, préfet des Hautes-Alpes, vue de deux cotés : avant, et après l’électrification du village.

fontaine2


clocher5 – L’entrée de l’église Saint-Arey, et son clocher, qui n’avait pas encore été crépi.


clocher2 – Deux cartes du clocher de l’église Saint-Arey, et de la porte du château, dont l’une au temps ou il abritait la Perception, certainement avant 1920.

clocher1


clocher4

chateau1 – Sur la carte de droite on aperçoit la cour du château, qui a un pavement de grosses dalles remarquable.


chateau3

chateau2 – Carte de droite : Pierre Blanchard, et son demi frère Louis Pons


tour – Une des rares cartes de la tour…

passe – … et du chemin de ronde, à l’est du village.


puces – La rue, appelée dans les années 1940, et par dérision, la rue des Puces. C’était la rue principale au Moyen-Âge, la rue des boutiques.

Le sol n’avait pas encore été goudronné, il était nature.

Son nom actuel, que personne ne connaît, n’est pas représentatif, comme les trois quarts des noms des autres rues.

@EB – octobre 2005